Certains m’appellent le nettoyeur, mais j’opterais pour le fossoyeur, car j’aime remuer la merde,
J’ai collé mes frolos avant de rentrer dans ce biz - go, alors pas besoin de poto, j’t’emmerde, j’t’emmerde, et j’t’emmerde,
et pour commencer, égratigner ceux qui soit- disant font danser,
C’est un clash, ou bien X sans nous pourraient pas becter, te pisseraient leur langue dans la fente, pour t’faire des mix tape made in France, quand tu viens guincher, ramène tes guiboles rasées,
Eh, y’a plus rien de Français, alors monsieur DJ à la "oneagain" change de skeude,
Et n’viens pas tu connais l'underground, alors q't’es plutot fashion, alors action, j’t’emmerde et j’t’emmerde,
Marquer avec frelo, t’es pas Romano, mais en bikini avec son look, ton pater, un tas de fric,
Ca t'evite de repiquer avec les schmites, les squates, t’en a que l’odeur, et rien d’un assassin,
À force de t’doser, c’est l’hôpital qui se moque de la charité, shoote toi, chouf toi dans une glace,
Car c’que tu vois c’est dégeulasse, eh renois, oups, t’as rasé tes tifs, Babylone
J’t’emmerde, j’t’emmerde et j’t’emmerde, quant aux "narvalos" de la nation,
Dis leur qu’je suis au haut-parleur, sachez que le hip-hop,
C’est pas de seulement faire des gribouillis sur un muret,
Et s’faire tâlter par les calcoups de la ferro comme un furet, F.M.P fanfaron manager par une pute,
Encore un coup foireux comme le B.O.S.S, boulot organisé qui suce et sniffe,
Authentik sur papelar, alors qu’ces deux là voulaient se rentrer dans le lard,
Eh tout n’est pas si facile, qu’est ce t’attend pour le foutre au feu et t’foutre au feu,
Critique la soupe, il faut les croûtons qui vont avec, eh, et même si y’en à qu’un qui sort des briques,
Et l’autre 'Tos c’est venant des 30 piges pour vendre du shit, c’est arrivé près de chez toi, ouais ma gueule,
Carrément sous ton nez, l’argent pourri les gens, c’est plus un sentiment, … ,
Hep, bien sûr j’vous emmerde, j’t’emmerde, j’t’emmerde, et j’t’emmerde.
Joue les cake, joue les "oneagain", joue les cons, j’reste concret, directe c’est la guerre,
Joue les braves, joue celui qui sait, ah mais t’en met, la vérité sur toi, moi j’la connais.
Joue les cake, joue les "oneagain", joue les cons, j’reste concret, directe c’est la guerre,
Joue les braves, joue celui qui sait, ah mais t’en met, la vérité sur toi, moi j’la connais.
Ko-ssi-ty, rude boy, faut qu’il prenne une baffe pour qu’il comprenne, Pow! Pow! This is it! This is it! This is it!
Grande saucisse, parle si bien de ses sosies dans ses chansons, un zguegue, sef,
Et pourtant il prend du côté pile, y’en a qui ont l’emballage mais pas le contenu,
Et ce qui gigote dans ton calcife, c'est aussi chétif que chez "Garbitt",
J’t’emmerde, j’t’emmerde, et j’t’emmerde,
Honneur aux dames, la migale ?
Non la tronchonneuse, avant de donner des leçons,
Regarde avec qui t’as fais un rejeton, mais si, si seulement t’avais pas baisser ton froc pour en arriver là,
Eh ouais c’est vrai ce jour là t’en avais pas, et si, avec des scies, malheureusement j’coupe du bois,
J’t’emmerde, douze, et pas un cerveau , fallait qu’on revienne,quite a collabo avec l’autre facho,
J’en place une spéciale pour toi, Pierpoljako,
J’sais pas chanter mais j'sais bien ratonner
Car tatoué tu l’es encore, et v’là l’envers du décor, et le comble du raciste, c’est de tringler ce qui le rebute,
J’t’emmerde, j’t’encule et j’t’emmerde,
Appelle toi le mélancolique.
Tu fais dans la purée Mousline, car pour un muslim, t’aurais dû déjà changer de blaze,
Ça sent le gaz, Allah Ouakbar, la première qualité d’un muslim c’est d’être humble, et tu l’es pas,
Et sache que la religion n’est pas un sprint, mais une course de fond,
Alors pense à ceux qui pratiquent depuis 20 ou 40 ans, et qu'en font pas tout un boucan
Remarque, dis donc Marco, tu s’ra pas une icône, et si seul, l'etre supreme juge,
Alors la sky - roulette, sacrilège, Bismillah, j’t’emmerde, j’t’emmerde et j’t’emmerde.
Joue les cake, joue les "oneagain", joue les cons, j’reste concret, directe c’est la guerre,
Joue les braves, joue celui qui sait, ah mais t’en met, la vérité sur toi, moi j’la connais.
Joue les cake, joue les "oneagain", joue les cons, j’reste concret, directe c’est la guerre,
Joue les braves, joue celui qui sait, ah mais t’en met, la vérité sur toi, moi j’la connais.
Booba, Booba, mon petit ourson
Et nique sa mère la ré-insertion , même pas renois même pas rabza,
Juste une jaune d’oeuf mal cé-ca,
Propre gun, pareil c’est pas top gun,
Moi aussi j’écoute Polnarref, ououououou, dans mes chiottes,
J’ai pé-cho ton pote, et j’baise sur du Gilbert Bécaut,
P‘tain quel rime de batard , mais, c’est qui qui jappe comme ça,
Eh, plutôt timide pour un pitt, un epagneul sorti tout droit de la S.P.A,
Eh, t’aurais blazé le Mick Bacardi, ça t’aurais pas titi, tu tape une coup à gauche, un coup à droite,
Ça y est, v'la les super crew, bad badman mobile, chou on y comprend q'dalle.
Quant aux crocos, qui m’ont pompe "j’t’emmerde", sachez que j’me souviens du 1er et pas du 2eme,
Tchit –Tchit,
J’t’emmerde, la syphillis dans le rap ça fait bizarre,
Et pour bronzer je crois que t’as besoin d’une passoire, vu que je m’arrête pas là,
Repete apres moi.
Ambiance scandale, danse de pédales, sentez bien la chaleur, dans ton cul.
Marseille, ça pu, c’est sale, pas vrai ? Et ton art de rue est bien propre, tu brûles au soleil,
Et 306 cab à paname solo sans cape sono, "street life", eh, c’est ça ma couille,
Balance ta cendrillon du ghetto sur l’trottoir, la Fonky Family c’est fini.
Et pour les pseudo indépendants, tous signé en maison de skeud,
S.H.E.R.Y.O, rap d’immigrés à bandots, tu defie p’t’être X-Or , c’qui fera pas de toi un cador,
King de la récupe et sans répute, la révolution c’est Virgin, le pognon,
On sait même pas si c’est un râteau ou un cageot, eh tu te prends pour le nombril du monde,
Alors que t’en ai que le trou du cul, continue l’impro, tellement de trou de balle qui parlent de rue,
À croire qu’c’est tous des S.D.F, mais y’en a pas Bezef, en bref,
Mc Jean Gab’1, n’est pas une putain, retiens le bien, j’te l’avais dis ma gueule, tin-tin-tin.